Nous avons souvent évoqué dans l’Antipresse le livre poétique et profond de Sylvain Tesson racontant sa traversée «thérapeutique» de la France, en diagonale, par les sentiers les moins courus. Avant nous, Maud Koffler est allée voir le film de Denis Imbert où Jean Dujardin joue le rôle de l’écrivain. Elle en a tiré un compte rendu poignant.
Un si désirable anéantissement
Une guerre frontale en Europe aujourd’hui signifierait la destruction du continent et peut-être même de l’humanité. On ne peut pas imaginer que nos dirigeants n’en soient pas conscients. Si, par conséquent, ils parlent de guerre, ce ne peut être que pour la conjurer. Ou bien un effet d’ironie…