dictature
Bonne journée!
Vous souhaiter une bonne année serait faire preuve d’une niaiserie coupable. Si vos journées sont bonnes, une à une, ce sera déjà ça de pris…
Ouvrir le feu
L’ancien préfet de police de Paris Didier Lallement a tenu récemment des propos qui retiennent l’attention. Il a ainsi dit qu’une partie de la classe moyenne était entrée «dans la violence politique et la révolte». Et encore: «Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour».
«Une force barbare et terrible»
Les mots et les images ayant disparu, rien ne vient plus faire obstacle à l’état de choses qu’ils dissimulaient, mais qu’en même temps ils contenaient. C’est le règne de la force brute alliée au mensonge sans fard.
De la criminalité d’État à l’État criminel
Y a-t-il une limite à l’arbitraire du pouvoir en Occident? Les lois sont ignorées, les constitutions bafouées, le droit des gens aboli. Les piliers publics de l’ordre se soumettent aux services de l’ombre. Comment qualifier cette évolution?
La réinitialisation, la vraie
Des changements tectoniques vont se produire sur la scène internationale, déclarait récemment le président Poutine. Il ne parle pas de la scène interne, mais ce qui se passe sur la scène internationale ne reste bien sûr pas sans influence sur la scène interne. Avec un peu de chance, l’Europe réussira peut-être à passer l’hiver, mais la suite n’est pas garantie. Guerre en Ukraine, réchauffement climatique, Covid, grand remplacement, etc.: on n’a que l’embarras du choix. Un nouveau monde se dessine, personne n’imagine qu’il sera plus pacifique, humain ou civilisé que l’ancien.
Stratégie du choc, version Europe
La stratégie du choc doit s’entendre au sens propre. C’est en fait un *traitement* de choc. Quand on est en *état de choc*, on ne peut plus rien faire, on est littéralement paralysé. C’est le but recherché. Car c’est quelquefois le meilleur moyen de prendre et de conserver le pouvoir.
Dérives criminelles
Jusqu’où les élites au pouvoir sont-elles prêtes à aller? Comme elles n’ont ni freins ni marche arrière, la réponse est simple: jusqu’au bout. Et ce bout, à quoi ressemble-t-il?
Nous n’irons pas mourir en Ukraine pour vous!
Dans un discours effarant tenu il y a quelques jours à Bormes-les-Mimosas, le président français, tout juste revenu de vacances sur la Côte d’Azur, annonçait qu’il entendait faire «payer le prix de la liberté» à son peuple. Notre correspondant lui répond d’emblée dans cette lettre ouverte: ce sera sans nous!
Flotter sur du vide: une normalité hors-sol
Les sources de vie sont taries. Nous le sentons bien, mais nous continuons de faire comme si tout était normal. Les arbres, au moins, ont des racines qui leur permettent de survivre aux longues sécheresses. Mais nous, dans quoi sommes-nous enracinés?