dictature
Lettre à un tyran
Margaret Anna Alice a adressé aux «Frankensteins flasques» de la dictature covidienne une mise en garde de haute volée. Nous avons décidé de la traduire en tant que témoignage de la colère qui gronde dans le monde entier face à la dictature, à l’inhumanité et à la tromperie des «petits maîtres» de l’hystérie sanitaire. Une colère qui n’est pas la marque des ignares et des fanatiques, mais précisément de gens hautement instruits et renseignés.
Une loi en béton
Le mur dressé à Zermatt n’est pas qu’une mesure stupide contre un aubergiste récalcitrant. Il est, selon Oskar Freysinger, le symptôme d’une dérive inquiétante de l’État de droit. Dérive que seuls les citoyens peuvent enrayer le 28 novembre prochain.
Le mur de Zermatt
Jadis, l’illustre station alpine prospérait au pied du Cervin, ce symbole de la Suisse. Désormais, Zermatt s’est dotée d’un autre symbole: un mur en béton. Il n’est pas sûr que ce dernier soit aussi profitable au tourisme.
Suisse: le 28 novembre, dernier espoir d’arrêter la dictature sanitaire
La votation suisse sur la modification de la Loi COVID-19 est l’occasion de récapituler les étapes de la dérive vers le totalitarisme sanitaire. Le peuple suisse se réveillera-t-il à temps?
La pandémie comme révélateur
Il est généralement admis que l’actuelle pandémie, outre un effet accélérateur, a eu un effet révélateur: elle a rendu visibles un certain nombre de choses qui jusque là n’étaient que peu ou pas visibles. Et subitement elles nous sautent au visage. En soi c’est plutôt positif. Mieux vaut suivre la vérité effective de la chose que son imagination, disait Machiavel.
Vol au-dessus d’un nid de kangourous
L’Australie est devenue un hôpital psychiatrique où la gestion du Covid est aux mains de fous furieux.
Ernst Wolff: le coup d’État du système financier-numérique (2/2)
De deux choses l’une: soit la gestion en tous points catastrophique de la crise du Covid-19 est un signe d’abrutissement terminal des élites dirigeantes de la planète, soit elle correspond à une intention perverse où «le pire est le mieux». Dans une conférence d’une demi-heure, Ernst Wolff documente la piste d’un naufrage délibéré de l’économie mondiale, en d’autres termes de l’accomplissement du «Grand Reset» tel que décrit et voulu en toutes lettres par le WEF de Davos.
Affaire Berset: une mise en perspective
Un ministre qui mobilise les ressources de l’administration et de la magistrature, mais aussi des médias, pour étouffer les scandales de sa vie privée. Signe des temps? Oui, sauf qu’ils ont eu beau faire, tout s’étale aujourd’hui sur la place publique. C’est bête. L’occasion de s’interroger sur les dérives actuelles de la suprasociété. Car cela craque de toute part.
Avant que ne parlent les armes… (2)
Pour ne pas être toujours en retard d’une guerre, voire de deux, il ne faut bien sûr pas abuser des comparaisons. Mais on a le droit aussi de rappeler qu’en règle générale, la révolte ou la résistance (qu’importe ici le vocabulaire) est d’abord un choix individuel.