Le complot est partout. Il nous manipule, il nous étourdit, il nous hante. Il remplit des milliers de sites et des millions de pages sur l’internet.
Observe. Analyse. Intervient.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!
Le complot est partout. Il nous manipule, il nous étourdit, il nous hante. Il remplit des milliers de sites et des millions de pages sur l’internet.
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Il y a parfois de ces conversations téléphoniques qui vous projettent dans un film de Costa-Gavras… Sauf qu’elles parlent de la réalité vécue aujourd’hui même en Europe. Témoin ce coup de fil avec Pierre Jovanovic.
Quand on parle de ce qui se passe aujourd’hui en Europe, plusieurs phénomènes se croisent et par là même aussi, bien souvent, s’interpénètrent et se conditionnent mutuellement. Pour autant, il n’est pas interdit de les considérer chacun pour lui-même.
Quand un pays subit des dizaines d’attaques portant sur des installations de haute sécurité et leur personnel, que ces attaques sont coordonnées, exécutées à l’arme de guerre et bénéficient de renseignements de pointe, comment appelle-t-on cela? Des faits divers, bien sûr…
Qu’enseigne-t-on vraiment dans les écoles de journalisme françaises? Les règles et savoirs d’un métier ou les dogmes d’une religion? Xavier Eman a fait le tour d’un «vaste système de formatage idéologique, d’endogamie sociale et de cooptation politique».
L’imprévisible président turc a-t-il commis la perfidie de trop en aidant au renversement d’Assad en Syrie par les djihadistes? Alexandre Douguine le croit, et il l’argumente au travers d’une très pénétrante synthèse de la situation.
Pour expliquer les bruits de bottes actuels en Europe occidentale, on évoque volontiers, afin de les banaliser, le précédent de la guerre froide, qui s’est achevé en 1989 avec la chute du mur de Berlin. En réalité, la comparaison ne mène pas très loin. On peut la tenter, mais ce sont surtout alors les différences qui retiennent l’attention.
Écrivain mondialement célèbre et pourtant méconnu en France, fauteur de scandales, l’auteur de Zorba le Grec recherchait la plus haute noblesse dans l’être humain. Son œuvre donne un tout autre sens au mot «transhumanisme».
Dans la tourmente des événements que nous vivons, la nécessité d’un vrai «pas de côté» s’est impérieusement fait sentir. Il me fallait m’écarter un peu des affaires cérébrales pour replonger dans l’univers des sens — et au travers de lui dans la spiritualité incarnée. Comme je relisais ces derniers temps le merveilleux petit livre de Béla Hamvas sur la Philosophie du vin — prudem(m)ent intitulé «Livre de prières pour les athées» dans la version française —, l’idée m’est venue de réaliser un projet que je caressais depuis longtemps sans trouver le bon angle d’attaque: partir à la redécouverte du vin!
L’Église catholique romaine, en particulier sous le pontificat de François, s’est engagée en faveur de l’immigration de masse avec ardeur — mais à rebours, très probablement, d’une forte majorité de ses propres fidèles. Jusqu’où poussera-t-elle son «idéalisme pénitentiel»?
Les Européens se retrouvent pris en tenailles entre deux «ennemis», l’américain et le russe. À partir de là, quelles options s’offrent à eux? Et laquelle vont-ils choisir?
Les décrets et mesures du nouveau gouvernement américain sont spectaculaires et souvent choquants. Dans cet arsenal brinquebalant, la théorie monétaire exposée par le conseiller économique en chef de la Maison-Blanche à l’appui de la taxation du monde entier constitue, selon Arnaud Bertrand, un projet d’extorsion comme l’histoire humaine en a rarement vu.
Notre lectrice Laetitia Brook a décidé de quitter l’Europe pour Bali où elle vit avec mari et enfants. A l’occasion du Nouvel An traditionnel, elle nous a envoyé un récit habité et chatoyant des coutumes encore vivantes de cette île paradisiaque.