En rééditant «Le syndrome Tolstoïevsky» dans le premier Antipresse de l’année 2022, j’étais poussé par un pressentiment et une conviction. Le pressentiment que le rapport de l’Occident avec la Russie serait le grand enjeu de cette année et la conviction que le réveil de l’Europe passait par un retour à la raison dans ses relations avec ce pays.
Ces voix dans nos têtes (2/3)
La démocratie moderne nécessite, pour être gouvernable, l’assentiment des populations. Mais elle n’est pas très regardante sur la manière dont cet assentiment est obtenu, voire… arraché!