C’est très loin, la Nouvelle-Calédonie. C’est un territoire colonisé: donc sans rapport avec la situation en métropole. Est-ce bien vrai? La Nouvelle-Calédonie ne nous tend-elle pas plutôt un miroir — ou un pronostic — de notre propre glissement vers la «guerre sauvage»?
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.