Et donc j’ai érigé ici un lieu pour le silence, au nom de notre saint et bienheureux père Sabbas, offrant le toit à deux ou trois, selon les paroles du Seigneur : « Où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là parmi eux ». Aussi je porte cet ordre à la connaissance de tous : nul n’a autorité sur cette cellule, ni le prote, ni le prieur de notre saint monastère, et nul ne doit déranger celui qui vit en ce lieu. (1)
Le journal intime: un ancrage dans la fuite du temps
Beaucoup de gens tiennent leur journal comme ils respirent, sans y penser. D’autres ne pensent même pas à le tenir. Pourtant, c’est une lettre précieuse qu’on adresse chaque jour à l’être qu’on va devenir…