La guerre, montée sur son cheval rouge, est le deuxième fléau de l’Apocalypse. C’est, dit-on, la pire des calamités qu’il faut éviter à tout prix. Vraiment? N’y a-t-il pas des cas où la guerre est envisagée comme une solution opportune, une issue désirable, voire une volupté?
La justice comme tournevis
La Justice est indépendante, n’est-ce pas? Elle est indifférente aux cas particuliers, pèse les fautes de chacun sur la même balance, n’est-ce pas? Elle est aveugle aux pressions, c’est pourquoi on la représente avec les yeux bandés. N’est-ce pas?