C’est en leur posant de vraies questions que le doute nous saisit: nos institutions seraient-elles devenues des coquilles vides?
Michel Terestchenko: banalité du bien, banalité du mal
S’il est un livre méconnu, mais que tout le monde devrait avoir chez lui, c’est bien *Un si fragile vernis d’humanité. Banalité du bien, Banalité du mal* de Michel Terestchenko.

