Une fois la notopie décrite comme galopante(1), après que les utopies restent impossibles et les dystopies infernales, il faut se demander quelles alternatives sont à envisager face à telles illusions ou tels malheurs.
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.