Une fois la notopie décrite comme galopante(1), après que les utopies restent impossibles et les dystopies infernales, il faut se demander quelles alternatives sont à envisager face à telles illusions ou tels malheurs.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»