Le «dimanche sanglant» du 11 juillet 1943 est considéré comme l’apogée des massacres de Volhynie commis par les nationalistes ukrainiens. Quatre-vingts ans plus tard, la commémoration de ce crime majeur en Pologne est devenue un enjeu géopolitique délicat.
Un si désirable anéantissement
Une guerre frontale en Europe aujourd’hui signifierait la destruction du continent et peut-être même de l’humanité. On ne peut pas imaginer que nos dirigeants n’en soient pas conscients. Si, par conséquent, ils parlent de guerre, ce ne peut être que pour la conjurer. Ou bien un effet d’ironie…

