La nécessité de «dénazifier» l’Ukraine n’est-elle qu’un alibi à l’invasion russe ou répond-elle à une réalité du terrain? Il est difficile de comprendre cet enjeu sans se mettre à la place des Russes, de leur perception des menaces et de leur sentiment de l’histoire. J’ai donc posé la question à l’un des rares «passeurs» dont nous disposions aujourd’hui: Xavier Moreau, analyste français vivant à Moscou depuis plus de vingt ans.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…