Le 13 juin prochain, les citoyens suisses devront se prononcer sur cinq questions à la fois. Il serait vital pour l’avenir de la démocratie directe que ces cinq objets soient rejetés. Or il y a très peu de chances qu’ils le soient. Cela nous permet de les étudier sans volonté de convaincre et donc sans passion.
Comment nommer l’innommable?
L’évocation d’une restauration du nazisme dans les pays baltes dans un débat de la Radio suisse romande m’a valu de vives attaques dans pratiquement tous les médias suisses de langue française. Il est intéressant de se demander pourquoi.