Le 13 juin prochain, les citoyens suisses devront se prononcer sur cinq questions à la fois. Il serait vital pour l’avenir de la démocratie directe que ces cinq objets soient rejetés. Or il y a très peu de chances qu’ils le soient. Cela nous permet de les étudier sans volonté de convaincre et donc sans passion.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.