Le gouvernement suisse, de manière assez surprenante, a rejeté l’accord-cadre avec l’UE quelques jours après que celle-ci eut refusé de modifier les points inacceptables pour la Confédération(1). Cette décision qui favorise le pays réel, le pays qui travaille, a été critiquée aussi bien par la gauche idéaliste que par la droite affairiste. La déception de ces partis en dit long sur leur vision du pays.
Faux droit, vraies dévastations: les sanctions internationales
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.