La lutte contre le terrorisme ne serait-elle que la feuille de vigne de la politique extérieure des USA? Voilà une question bien naïve, car ce n’est un secret pour personne: derrière les guerres d’Afghanistan, d’Irak, de Libye et de Syrie se profilent d’énormes intérêts économiques liés aux ressources en pétrole, en gaz ou en richesses minières.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.