Gref: Payez avec le sourire!
Les applications de paiement par code QR sont dépassées! La technocratie russe généralise désormais les transactions par délit de faciès… pardon, par reconnaissance faciale.
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Coup de théâtre en Géorgie. La loi sur les agents étrangers est finalement entrée en vigueur malgré le veto opposé par la présidente Salomé Zourabichvili. Le Parlement est passé outre, en dépit des manifestations monstres qui ont agité Tbilissi pour faire barrage à ce qui a été présenté dans les médias occidentaux comme une loi russe. Une loi russe, vraiment?
Tout est la faute de Vladimir Poutine, bien sûr. C’est ce que pensent ses adversaires, et même certains de ses admirateurs. En attendant, comme le chef d’État russe, malgré ses erreurs colossales, est en train de mettre l’Occident en échec, les think tanks de service moulinent en toute hâte un plan B…
Jack F. Matlock Junior aura bientôt 95 ans. Vétéran de la diplomatie étatsunienne, il a servi son pays sur le front de la Guerre froide et assisté en direct à la débâcle de l’URSS alors qu’il était ambassadeur en poste à Moscou de 1987 à 1991. Il nous a laissé quelques témoignages éloquents et quelques réflexions sardoniques sur l’après-guerre froide et les énormes erreurs géopolitiques de son pays.
Qu’est-ce, au fond, que l’identité ukrainienne? Comment a-t-elle résisté à l’attaque russe? Pour Emmanuel Todd, la question reste un mystère et il avoue n’avoir pas de réponse définitive. Mais son enquête est passionnante.
Il n’est pas possible de rester neutre face au djihad wokiste. Alors qu’elle s’était jusqu’ici prudemment tenue à l’écart, la Serbie adopte à son tour — par opportunisme politique — une législation LGBTQ+. Démontrant une fois de plus que cette idéologie est bien le fer de lance de la «civilisation» aujourd’hui imposée en Occident et par l’Occident.
Dans son exposé d’une quinzaine de minutes devant le Conseil de sécurité de l’ONU, Jeffrey Sachs a dévoilé la recette permettant de sortir le monde de la crise actuelle. C’était en novembre dernier. Même venant d’un professeur émérite de Harvard et de Columbia, la leçon donnée à l’une des plus hautes institutions de la planète peut paraître bien présomptueuse. La paix serait-elle vraiment à portée de main si le Conseil — et notamment ses cinq membres permanents — veillait seulement à mettre en application ses propres résolutions? L’hécatombe de la guerre d’Ukraine aurait-elle été évitée s’il avait suffi de contraindre le régime de Kiev, sous peine de sanctions, de mettre en œuvre les Accords de Minsk qui accordaient un statut d’autonomie au Donbass? Pour Jeffrey Sachs, il ne fait pas de doute que de la même manière, les grandes puissances membres du Conseil avaient le pouvoir et les moyens d’obliger […]
Il y a quelques semaines encore, l’Occident officiel ne voulait pas entendre parler de paix en Ukraine. Aujourd’hui, on réfléchit aux issues de secours. Le point de vue du professeur Jeffrey Sachs offre peut-être une piste acceptable pour toutes les parties.
Question: quelle est la personne la plus influente de Russie après Poutine? Réponse, selon Forbes: German Gref, président de la plus grande banque de Russie, la Sberbank.