La France est morte parce qu’on l’a tuée. On l’a déshonorée, on l’a abrutie, on l’a fait dépérir en la privant de ce qui la nourrissait. Ses intellectuels et ses prêtres l’ont trahie, et l’ont livrée à des usuriers et à des technocrates qui détestent toute espèce de poésie et de vie intérieure.
La sauvagerie civilisée ou la guerre de 70
Flaubert avait déjà tout dit. Notre époque était déjà en germe dans la sienne. Et donc la sienne était déjà plus ou moins la nôtre. Encore faut-il savoir lire dans son époque, interpréter les signes des temps.

