«On ne meurt pas quand on veut, mais seulement quand on peut». Cette phrase, issue de son chef-d’œuvre *Cent ans de solitude*, Gabriel García Márquez semble la prédestiner à son roman sur les derniers instants de la vie de Simón Bolívar, *Le Général dans son labyrinthe.
Semainier de la confusion
Le carnaval des squelettes d’automne. Un tatouage aperçu aux bains. Un immense drapeau européen déroulé à Belgrade. Un personnage douteux reçu à Moscou. Des phénomènes apparemment sans aucun lien entre eux et qui pourtant désignent un même horizon que l’âme pressent mais que la raison se refuse à contempler.