Les sentiments se rétrécissent comme peau de chagrin; plus personne ne s’épanche sur ses états d’âme, l’amour est relayé à la cave, même la vie intérieure n’intéresse plus. Tel est le désolant constat de Günther Anders des générations avant la déshumanité post-covidienne…
Le grand bouleversement de la modernité
Notre article sur l’«éternité de l’Occident» (AP463) a suscité une réaction de notre ami et correspondant Guy Mettan alors qu’il entreprenait une tournée dans ce «monde extérieur» qui se rassemble autour du BRICS. Ses observations font certainement réfléchir et nous poussent à explorer encore davantage ce sujet capital de notre époque: notre devenir d’Européens sur une planète qui, pour la première fois depuis des siècles, peut se permettre de nous ignorer…