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Connaissons-nous encore la modération?
Le vainqueur pourrait détruire le vaincu une fois qu’il le tient à sa merci. Pourtant il ne le fait pas. Ou du moins, il ne doit pas le faire, selon la tradition militaire et morale. Ce n’est pas qu’une affaire de nobles sentiments. C’est aussi, comme l’on dirait aujourd’hui, pour ne pas «tenter le karma». Voilà une sagesse qu’on tend à oublier…
«Nous nous verrons en août» de Gabriel García Márquez
Il est toujours délicat de publier une œuvre posthume, surtout lorsque son auteur l’avait décriée peu avant sa mort. Ce fut pourtant le choix réfléchi des fils de Gabriel García Márquez, Rodrigo et Gonzalo García Barcha avec *En agosto nos vemos*.
MARQUE-PAGES • La semaine du 20 au 26 octobre 2024
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
Les voies modernes de la violence
On peut tuer l’être humain avec une arme. On peut aussi l’anéantir par le harcèlement, l’iniquité, la terreur et le stress. Et puis on peut l’user comme on pirate un ordinateur: en le forçant à un redémarrage perpétuel…
MARQUE-PAGES • La semaine du 13 au 19 octobre 2024
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
MARQUE-PAGES • La semaine du 6 au 12 octobre 2024
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
MARQUE-PAGES • La semaine du 29 septembre au 5 octobre 2024
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
Flux et reflux
Comme chacun s’en rend bien compte aujourd’hui, nous vivons la fin d’un cycle. Quelque chose s’achève, nous sommes en train de basculer dans autre chose. On peut aborder le problème sous différents angles. Certains se réfèrent aux cycles économiques, d’autres, comme Bernard Wicht, parlent de «nouveau moyen âge». Etc. Toutes ces approches sont intéressantes.
Le mal du pays
Quel pays? se demandera-t-on. N’importe lequel. Tout lieu de cette terre qui est encore un pays et non pas seulement une zone. Tout lieu qui a son histoire, ses légendes, ses saveurs, ses accents, ses coutumes, ses cicatrices et ses tares qui lui donnent un visage unique, impossible à confondre avec un autre. Le mal du pays, ce n’est pas une simple nostalgie. C’est une question lancinante: où le cacher, comment le préserver, face au nivellement universel de la Modernité?