Cela me paraît de plus en plus incroyable à mesure que le temps passe, mais j’ai connu les frénétiques années 1980. On draguait au son de la New Wave, dandyesque, dansant, érotisé et so british. C’était chargé de langueurs, de sous-entendus et d’allusions artistiques, comme un bal masqué dans un palais vénitien.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.