La notopie n’est ni désirable comme une utopie, ni terrifiante comme une dystopie. C’est la promesse populiste du centre et de la médiocrité, l’état d’apathie terminale d’une société qui ne veut plus vivre.
La sauvagerie civilisée ou la guerre de 70
Flaubert avait déjà tout dit. Notre époque était déjà en germe dans la sienne. Et donc la sienne était déjà plus ou moins la nôtre. Encore faut-il savoir lire dans son époque, interpréter les signes des temps.

