Le vainqueur pourrait détruire le vaincu une fois qu’il le tient à sa merci. Pourtant il ne le fait pas. Ou du moins, il ne doit pas le faire, selon la tradition militaire et morale. Ce n’est pas qu’une affaire de nobles sentiments. C’est aussi, comme l’on dirait aujourd’hui, pour ne pas «tenter le karma». Voilà une sagesse qu’on tend à oublier…
La Suisse au XXIe siècle: vers le sabordage diplomatique?
Suisse, CIO, WEF… Quand ceux qui se prétendaient au-dessus des conflits s’abaissent à choisir un camp, ils courent le risque d’y perdre leur raison d’être.