On peut ne pas aimer certaines choses, et en même temps ne pas trop aimer la manière dont, de plus en plus, s’y prend l’État non pas pour les empêcher — il n’empêche rien —, mais pour en profiter. En profiter pour créer de nouvelles pénalités et ainsi judiciariser un peu plus encore la vie sociale (comme si elle ne l’était pas déjà assez).
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.