La France est morte parce qu’on l’a tuée. On l’a déshonorée, on l’a abrutie, on l’a fait dépérir en la privant de ce qui la nourrissait. Ses intellectuels et ses prêtres l’ont trahie, et l’ont livrée à des usuriers et à des technocrates qui détestent toute espèce de poésie et de vie intérieure.
Faux droit, vraies dévastations: les sanctions internationales
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.