«On ne meurt pas quand on veut, mais seulement quand on peut». Cette phrase, issue de son chef-d’œuvre *Cent ans de solitude*, Gabriel García Márquez semble la prédestiner à son roman sur les derniers instants de la vie de Simón Bolívar, *Le Général dans son labyrinthe.
Posons les choses autrement
Nous vivons dans un continuel jeu de dupes. Le pouvoir fait semblant de respecter les règles démocratiques et nous faisons semblant de le croire. Qui osera dire les choses telles qu’elles sont dans la réalité?