On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.
Le piège de la compassion
Nous avons appris à être socialement compatissants et intérieurement inertes comme du verre. Notre déchéance toute entière se lit dans ce chaud-froid. Si nous voulons renaître, ne serait-il pas nécessaire, pour commencer, d’abolir cette duplicité?

