Mandaté par un groupe de citoyens préoccupés par la dérive autoritaire de leur gouvernement, l’avocat sédunois Jacques Schrœter a adressé deux lettres au Conseil fédéral suisse restées sans réponse. Après l’introduction du pass sanitaire le 8 septembre, il a adressé aux «sept sages» une mise en demeure les sommant de mettre fin à des agissements réprimés par le Code pénal suisse, notamment la contrainte (art. 181) et la propagation de maladies de l’homme (art. 231). Le groupe de citoyens appuyant son action a dépassé les 200 personnes et croît quotidiennement. La non-réponse étant devenue une tactique ordinaire chez les autorités, nous publions ici cette lettre d’une clarté et d’une franchise remarquables, en exhortant tous les Suisses à la méditer et à la diffuser.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»