On ne dissuade pas les enfants, les drogués et les fanatiques, on les laisse se brûler les doigts sur la plaque. Même alors, certains ne ressentent pas la douleur, ou n’en tirent pas la leçon. Comment communiquer avec ces insensés? Voici des années que la question me taraude. J’y ai même consacré un roman, sans savoir qu’il serait prémonitoire.
Pour en finir avec le terrorisme
On dit souvent qu’il y a manière et manière de faire la guerre. Il y a la bonne, celle, par exemple, respectant le droit de la guerre, et l’autre, celle ne le respectant pas. Le terrorisme se rattacherait à cette manière illicite de faire la guerre. Mais cela suffit-il à le définir?