Les stratèges se doivent d’avoir toujours un plan B dans la gestion d’un conflit. En fonction de la situation, ce plan pourra évoluer, s’adapter et même se démultiplier.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.