La perfection me dégoûte. Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société me font vomir. Foutus mannequins de viande, sans personnalité ni amour pour eux-mêmes. Mêmes vêtements, même musique, mêmes expressions, mêmes aliments, mêmes galipettes, mêmes voitures, mêmes vies… et finalement? Mêmes suicides neuronaux de masse. Parce que vivre comme un automate est sans aucun doute un suicide. Quand tout le monde est pareil, tout le monde n’est personne. La perfection est un petit oiseau en cage qui vit, mange, chie et meurt dans le seul but d’être admiré. Je veux vivre libre, frigorifié, froid, affamé, mais libre. — Charles Bukowski (via notre lecteur LP). Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
La sauvagerie civilisée ou la guerre de 70
Flaubert avait déjà tout dit. Notre époque était déjà en germe dans la sienne. Et donc la sienne était déjà plus ou moins la nôtre. Encore faut-il savoir lire dans son époque, interpréter les signes des temps.

