Versons quelques larmes… et puis ne faisons rien. Cela vous fait penser à quelque chose? La stérile et complice déploration des libéraux face aux progrès du Mal ne date pas d’hier. Elle s’est même incarnée au XIXe siècle dans des personnages hauts en couleur.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…