Une fois de plus, sous le nom de code COP24, les Administrateurs préoccupés se sont penchés sur le souffle de la Terre. Une fois de plus, ils ont abouti à la conclusion peu surprenante que les engagements pris lors des précédentes conférences n’ont nullement été tenus mais qu’il est d’autant plus nécessaire de redoubler d’efforts, car l’horloge du désastre final affiche déjà minuit moins quatre. Et si notre ultime possibilité de salut résidait dans l’abolition de ces psychodrames?
Semainier de l’expectative
Voici encore une de ces semaines frénétiques dont nous ne comprendrons l’importance que bien plus tard, à moins que les mémoires ne soient court-circuitées par cette cataracte d’événements. Donnons-nous une pause dans la réflexion en nous limitant à la chronique et à la description, histoire de simplement consigner les faits.