La semaine dernière (AP460), j’évoquais le statut de la vérité qui, par temps totalitaire, se reconnaît en tant que vérité parce qu’elle est considérée comme scandaleuse et traitée en paria. Mais est-il bien sûr que «la vérité nous rendra libres» et que «la vérité vaincra»?
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.