Une critique a récemment été adressée à l’Antipresse: nous ne proposerions pas de solutions; notre constat serait purement descriptif et analytique — et, de ce fait, déprimant —, car nous n’apporterions ni remède ni action pour les lecteurs. J’ai voulu répondre à cette remarque à partir de ma propre réflexion et de mon expérience personnelle.
France, une guerre complètement classique
Quand un pays subit des dizaines d’attaques portant sur des installations de haute sécurité et leur personnel, que ces attaques sont coordonnées, exécutées à l’arme de guerre et bénéficient de renseignements de pointe, comment appelle-t-on cela? Des faits divers, bien sûr…