Les États-Unis n’auraient-ils pas des investissements plus pressants à faire que de construire encore des bases militaires dans les pays occupés? Il semble bien que non. Et ce sont les Européens qui fournissent les terrains, les prétextes et les applaudissements préenregistrés.
Les pirates des Caraïbes et les pirates de Bruxelles
Les deux comparses occidentaux, États-Unis et Union européenne, s’agitent de manière particulièrement fébrile sur la scène internationale. Deux récentes actions semblent aggraver un constat désormais ancien: leur dédain de la plus élémentaire légalité.

