Comme nos lecteurs l’auront deviné, la vie de Vladimir Pozner est un roman que l’on ne résume pas en quelques pages. Des raccourcis sont nécessaires pour esquisser l’essence et la nature de caméléon du personnage, né un premier avril, qui n’a pas fini — à l’âge de 90 ans — de défrayer la chronique.
Perdre sa liberté… et au-delà
Jamais on n’avait vu pareil étalage de servitude en Europe. Mais au-delà de la servitude se pose le problème de la corruption. C’est-à-dire, en l’occurrence, de l’éloignement dramatique de notre système de toutes les valeurs et finalités pour lesquelles il était conçu.