Comme nos lecteurs l’auront deviné, la vie de Vladimir Pozner est un roman que l’on ne résume pas en quelques pages. Des raccourcis sont nécessaires pour esquisser l’essence et la nature de caméléon du personnage, né un premier avril, qui n’a pas fini — à l’âge de 90 ans — de défrayer la chronique.
La sauvagerie civilisée ou la guerre de 70
Flaubert avait déjà tout dit. Notre époque était déjà en germe dans la sienne. Et donc la sienne était déjà plus ou moins la nôtre. Encore faut-il savoir lire dans son époque, interpréter les signes des temps.

