Parmi les étudiants de ma génération, en Suisse, ceux qui s’engageaient dans la filière bancaire devenaient des stars ou des nababs. Il y a de cela un quart de siècle et les temps ont bien changé. La profession de banquier ne fait plus rêver grand monde. Elle pèse plutôt, quelquefois, sur le cœur de ceux qui l’exercent.
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.