La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques du 26 juillet a été abondamment commentée, rendant mon article paru le dimanche suivant presque anachronique, comme s’il appartenait au siècle passé. Ce que j’en retiens ici est que l’attentat tant redouté a bien eu lieu, mais sous la forme d’un attentat à la pudeur, mené depuis l’intérieur et par le pouvoir lui-même.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»