La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques du 26 juillet a été abondamment commentée, rendant mon article paru le dimanche suivant presque anachronique, comme s’il appartenait au siècle passé. Ce que j’en retiens ici est que l’attentat tant redouté a bien eu lieu, mais sous la forme d’un attentat à la pudeur, mené depuis l’intérieur et par le pouvoir lui-même.
Levada, ou les arroseurs arrosés
En pariant sur cet institut de sondage, ses parrains étrangers pensaient avoir trouvé le révélateur des maux de la société russe dont le régime dictatorial poutinien pouvait être rendu responsable. Ils n’avaient pas prévu que son travail pouvait se retourner contre eux.

