« Les hommes que le peuple devrait élire pour le représenter sont trop occupés pour assumer ce travail. Le politicien, en revanche, n’attend que ça. Il est la pestilence des temps modernes. Ce qu’il nous faudrait essayer de faire, ce serait d’aborder la politique à un niveau aussi local que possible. Garder les politiciens assez près pour pouvoir les rosser. Les villageois qui s’assemblaient au pied de l’arbre à palabres pouvaient également pendre leurs politiques à ce même arbre. Il est terrible de voir combien peu de politiciens sont pendus de nos jours. » — G. K. Chesterton, 1921. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Silence et malveillance
Avec plus de cent livres et 2000 articles, Alain de Benoist est de loin l’auteur français le plus fertile et le plus érudit de ce dernier demi-siècle. Il possède aussi l’une des plus grandes bibliothèques au monde. Que la culture officielle et les médias aient pu occulter ce penseur d’envergure universelle en dit long sur la santé du système. Le chaleureux ouvrage que lui consacre François Bousquet remet l’auteur à l’endroit et les pendules à l’heure.