Houellebecq a bien du courage, mais il n’a pas raison pour autant. Dans son pronostic sur la guerre civile qui attend la France, il a tout simplement oublié l’un des protagonistes, et non le moindre.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»