dictature
TRIBUNE • 12 juillet 2021: harcèlement et tyrannie
Les peuples doivent éduquer leur gouvernant et non le contraire. Les ministres sont étymologiquement, les «serviteurs» du peuple. Un gouvernement qui prétend éduquer son peuple bascule aisément en tyrannie.
Sans moi, ou la lecture comme contrecourant
Face au raz-de-marée du «mainstream», à la déferlante des «Me Too» et la terreur de l’unanimité, un petit nombre de rescapés reste toujours debout et refuse d’entrer dans la danse. Pourquoi? Qu’est-ce qui les motive à résister? Qu’est-ce qui les caractérise? Voilà l’un des mystère des «lois générales du comportement humain».
MARQUE-PAGES • La semaine du 4 au 10 juillet 2021
Les incontournables de la semaine sélectionnés par Slobodan Despot
TRIBUNE • «Cette société n’est plus la mienne»
Une réaction à l’article d’Eric Werner, «De quoi sommes-nous encore citoyens?» (AP292)
SUISSE • Un médecin barré… sans motif!
Le Dr Heisler avait préconisé une approche plus modérée par rapport aux mesures contre le Coronavirus. La contre-attaque fut d’une démesure absolue.
La France contre Macron: la vie contre la mort
Parler et agir dans la vérité permet d’exposer les dirigeants, ténébreux par nature, à la lumière qui les brûle. Note sur *Abattre l’ennemi*, de Juan Branco.
Trop vrai pour être vrai (La criminalité en mouvement, 3)
La question que tout le monde se pose est forcément: pourquoi tant de soumission? Tant de coopération même, puisque les populations ne se limitent pas à faire ce qu’on leur dit de faire, mais témoignent d’un certain empressement à le faire, comme on le voit avec la crise sanitaire? C’est très étrange.
La France vaccinale, entre la carotte et le bâton
Alors que la pandémie s’essouffle et que les variants peinent à remplir leurs promesses de terreur, certains gouvernements ont fait de la vaccination de tous une véritable obsession. En France, on a affaire à une tactique d’entonnoir aboutissant à une société-hospice dont les patients sont insidieusement privés de leurs libertés.
La littérature contre le délire (Journal de Coronafoirus, 13)
La menace sanitaire s’est transformée en dystopie, en prison mentale. Pour couper les voies de retraite, on nous dissocie de la mémoire commune de l’humanité — de la culture en somme. C’est pourquoi la littérature reste l’un des meilleurs antidotes à l’aliénation.