Littérature
Ionesco revisité
Le génial Eugène Ionesco a mis en évidence un virus dévastateur, et pourtant vieux comme l’humanité: le virus du mimétisme social. La maladie qu’il engendre peut transformer une société développée en horde de rats en un rien de temps…
Le «Miracle à la combe aux Aspics» d’Ante Tomić
Sur un coup de tête, Krešimir décide de partir en ville, à Split, pour se trouver une femme sans passer par les sites de rencontres ou les agences matrimoniales. Il rêve de retrouver Lovorka, la serveuse du bar La Girafe…
La littérature contre le délire (Journal de Coronafoirus, 13)
La menace sanitaire s’est transformée en dystopie, en prison mentale. Pour couper les voies de retraite, on nous dissocie de la mémoire commune de l’humanité — de la culture en somme. C’est pourquoi la littérature reste l’un des meilleurs antidotes à l’aliénation.
«Le Monde d’avant», ou le Journal de Roland Jaccard
Jaccard, l’homme des métropoles, ennemi de Heidegger et du «culte des racines» et de la nature, finira, certainement, ses jours dans un palace d’exilés; mais, à ses dépens, il nous aura légué en héritage une œuvre des plus personnelles et cohérentes.
LISEZ-MOI ÇA! • «L’Homme approximatif» de Tristan Tzara
Sa lecture est essentielle pour faire exploser nos «cadenas» et nos craintes
RUSSIE-OCCIDENT • Deux lectures de Kipling
Ils ne veulent plus de Kipling? Les Russes lui accordent volontiers l’asile!
LISEZ-MOI ÇA! • «Rhum express» de Hunter S. Thompson
En père du gonzo journalism, Thompson est un reporter qui allie enquête, littérature et subjectivisme
LISEZ-MOI ÇA! • «Le fil du rasoir» de Maugham
Rien n’y est appuyé, mais tout est dit. Un chef-d’œuvre!
