En refusant de prendre en compte la réalité du terrain et le point de vue de toutes les parties, on ne fait que prolonger un conflit qui aurait, en plus, pu facilement être évité. De fait, on a laissé Poutine maître du jeu, par préjugé et par sottise.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.