La langue française s’essouffle. Elle n’arrive plus à produire les mots qui traduisent l’actualité la plus brûlante. Elle a dû emprunter à l’anglais le terme de «proxy» pour qualifier la guerre qui déchire l’Ukraine et risque de s’étendre au reste de l’Europe.
Déjeuner avec le diable
Il peut être profitable de déchaîner ou de favoriser le chaos. Mais les résultats ne sont pas toujours prévisibles. Comme dit la sagesse populaire, il faut y aller avec une très longue cuiller.