Le «dimanche sanglant» du 11 juillet 1943 est considéré comme l’apogée des massacres de Volhynie commis par les nationalistes ukrainiens. Quatre-vingts ans plus tard, la commémoration de ce crime majeur en Pologne est devenue un enjeu géopolitique délicat.
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…