Le «dimanche sanglant» du 11 juillet 1943 est considéré comme l’apogée des massacres de Volhynie commis par les nationalistes ukrainiens. Quatre-vingts ans plus tard, la commémoration de ce crime majeur en Pologne est devenue un enjeu géopolitique délicat.
Des tribunaux en guerre contre l’intelligible
Pour avoir rappelé une évidence biologique, un humble réparateur d’instruments de musique finit au trou. Cela ne se passe pas dans l’URSS du temps de Soljenitsyne, mais dans l’Helvétie du XXIe siècle. Après le cas Soral, l’affaire Brünisholz confirme l’instauration d’une «variante alpine du soviétisme». Dont les conséquences pour l’édifice juridique sont cataclysmiques.