Tout est la faute de Vladimir Poutine, bien sûr. C’est ce que pensent ses adversaires, et même certains de ses admirateurs. En attendant, comme le chef d’État russe, malgré ses erreurs colossales, est en train de mettre l’Occident en échec, les think tanks de service moulinent en toute hâte un plan B…
Ce que la Guerre froide nous cachait
En ce temps-là, Éric Werner était antisoviétique, voire atlantiste. Comme Raymond Aron, comme Camus. Et, dans leur époque, ils avaient raison: la liberté était bien «ici». Comment auraient-il pu deviner la vilaine plaisanterie que l’histoire allait leur jouer?