Il y a une sorte de tristesse qui vient du fait d’en savoir trop, de voir le monde tel qu’il est vraiment. C’est la tristesse de comprendre que la vie n’est pas une grande aventure, mais une série de petits moments insignifiants, que l’amour n’est pas un conte de fées, mais une émotion fragile et éphémère, que le bonheur n’est pas un état permanent, mais un aperçu rare et fugace de quelque chose que nous ne pourrons jamais capturer. Et dans cette prise de conscience, il y a une profonde solitude, un sentiment d’être coupé du monde, des autres personnes, de soi-même. — Virginia Woolf. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Le gouvernement global en exil (3)
Nous avons tenté de distinguer ce qu’est une révolution colorée de ce qui ne l’est pas. Nous avons plongé dans la masse de révélations qui pleuvent depuis le début 2025 au sujet des flux d’influence globaux. Nous comprenons au fil du chemin que la déstabilisation «non violente» des sociétés est la signature d’un phénomène bien plus vaste…